jeudi 26 avril 2012

(pâquerettes d’avril)


Avril et ses pâquerettes, avril et… sa pluie, son ciel gris, son manque de lumière : car après une grosse vague de chaleur en début de mois, avril se résume à ça ! En espérant seulement que toute la pluie tombée puisse nous éviter la sécheresse de l’été.
“April, your rain overcomes me”



dimanche 22 avril 2012

(macarons vanille)

Petite douceur de printemps... macarons vanille des îles.
Après deux réussites il y a de ça quelques années, comme j’appréhendais d'en refaire, de peur de les louper ! Alors, je me suis équipée et pour avoir testé la méthode à la meringue française, et celle à la meringue italienne –dont le résultat est plus fin est délicat, le thermomètre dans une main, le batteur dans l’autre, je me suis lancée (et j’ai bien fait !).
Je vous livre donc ma recette pour des macarons inratables, ou disons plutôt ma recette porte-bonheur qui, je l'espère, vous réussira aussi !
Macarons Vanille (à la meringue italienne)
Pour une trentaine de macarons (soit une soixantaine de coques)
Ingrédients pour les coques:
150g de poudre d’amande
150g de sucre glace
2x50g de blancs d’œufs, séparés 3 jours à l’avance (soit environ 3oeufs)
25g de sucre en poudre (sucre blanc)
150g de sucre en poudre (sucre blanc)
50g d’eau
1 cc de colorant en poudre blanc
Préparation :
Trois jours avant de faire vos macarons, séparer les blancs et les conserver dans 2 récipients séparés (2x50g) au frigo.
Le jour même, sortir les blancs quelques temps avant pour qu’ils soient à température ambiante.
Préparer 2 ou 3 plaques à pâtisserie recouvertes de papier sulfurisé.
Dans un robot, mixer le sucre glace et la poudre d’amande. Dans un grand saladier, tamiser ce mélange.
Commencer à faire le sirop pour la meringue italienne : dans une casserole, mélanger 150g de sucre et 50g d’eau. Mettre sur le feu jusqu’à ce que le mélange atteigne 110°C.
En même temps, commencer à monter en neige 50g de blancs d’œufs avec 25g de sucre de sucre en poudre. Battre doucement, et augmenter la vitesse au fur et à mesure. Ne pas s’arrêter de battre avant que le sirop de sucre ne soit prêt, c’est-à-dire : si le sirop n’est pas prêt, réduire la vitesse du batteur ; s’il est prêt avant les blancs, arrêter la cuisson.
Quand le sirop est prêt, le verser sur les blancs tout en continuant de battre, jusqu’à ce que le mélange atteigne 40°C (cela prend un peu moins de 10min).
Avec une maryse, ajouter les 50g de blancs non montés au mélange sucre/poudre d’amande. Ajouter également le colorant.
Enfin, ajouter la meringue italienne (= les blancs en neige) en 2 ou 3 fois et macaronner (= mélanger à la maryse en soulevant de bas en haut tout en tournant le saladier).
Garnir une poche à douille et dresser vos macarons (pour cela, il faut tenir la poche à douille bien verticale à votre plaque). Pour avoir des coques bien plates, lâcher la plaque d’une hauteur de 20/30cm à la verticale sur la table (le choc va évacuer les éventuelles petites bulles d’air et uniformiser les coques). Laisser croûter 1h.
Au bout de 40min, mettre le four à chauffer à 120°C à chaleur tournante (120, 130, 140°… cela dépend de votre four). Restez le nez collé à la vitre du four et applaudissez-vous quand vous verrez monter la jolie collerette (signe de la réussite !) ; ) Cuire environ 12min. Attendre que ça refroidisse avant de décoller les coques de la plaque.
Ingrédients pour la ganache/crème mousseline à la vanille:
25cl de lait
3 jaunes d’œufs
60g de sucre
50g de beurre
10g de farine
10g de maïzena
1 gousse vanille
Vous pouvez réaliser la ganache pendant que les macarons croûtent, ou même la veille.
Faire chauffer le lait avec la gousse de vanille.
Dans un saladier, mélanger les jaunes, le sucre, puis la farine et la maïzena.
Quand le lait est chaud, le verser sur le mélange dans le saladier, et remettre le tout sur le feu. Mélanger sans cesse jusqu’à épaississement (5 min environ). Arrêter la cuisson et ajouter le beurre. Laisser refroidir avant de garnir les macarons.
Après cette longue préparation, il faut encore attendre 1 jour avant de déguster les macarons : quand  tout est prêt, les garnir puis les mettre au frais avant de les déguster.
C’est un travail de longue haleine, mais le jeu en vaut la chandelle, tant pour la qualité que pour la quantité !


vendredi 13 avril 2012

(chutes...)


Que faire de nos chutes ?
Je n'ose les jeter, sans trop savoir pourquoi, j'y suis attachée. Je les garde, les entasse, ça prend de la place. S'en encombrer. Ces petits bouts de tissus, quelques centimètres à peine, se dire "peut-être" ? Je me demande aussi ce que vous en faites.

the world is so loud keep falling i'll find you...




lundi 2 avril 2012

(pippa lee)


L’une de mes dernières lectures, acheté parce que le nom m’évoquait quelque chose et que je trouvais la couverture jolie (ah ces anglais et leurs couvertures stylisées !) : un peu surprise au début par le personnage principal qui semble n’avoir que peu de choses en commun avec celui de la photo, j’ai continué ma lecture et suis allée au détour d’une narration décidément surprenante.

Nous suivons donc la (ou les) vie de Pippa Lee, voyageant dans sa chronologie, découvrant ses travers et son caractère. Le roman nous prend et nous emmène loin de l’ennui et des a priori que peuvent laisser présager les premières pages, va de rebondissement en rebondissement, étonnant et détonnant, pour nous laisser à l’orée d’une nouvelle opportunité.

The Private Lives of Pippa Lee (Les vies privées de Pippa Lee) est un roman « aimant », intrigant et entraînant, à l’image de son protagoniste.