Longtemps hésité à aller voir ce film, mitigée étant donné le précédent. Et puis finalement…
En dépit d’une toile de fond faite de constellations et de visions stellaires que j’ai trouvées parfois superflues – disons que Terence Malick, passé par là juste avant, m’en a plus que rassasiée – ce film m’a, dans l’ensemble, plutôt plu.
Surtout, Lars Von Trier a su m’accrocher dès la séquence d’ouverture avec ses plans magnifiques, véritables tableaux, œuvres à part entière, images à la fois fixes et animées, à la fois réalistes, hyperréalistes et surréalistes, cette lumière qui nous fait passer du réel au presque virtuel, ses mise-en-scènes inattendues et esthétisées au possible, révélant par là même leur plasticité.
A la fois poétiques et angoissantes, je vous en livre quelques unes glanées sur internet sans pouvoir vous en montrer autant que je le souhaiterais.
Evidemment, rien ne vaut de les voir sur grand écran au cinéma, dans le contexte même de Melancholia.
La première me rappelle l’univers d’une autre artiste, qui d’ailleurs fût elle aussi, le temps d’un film, l’égérie de Von Trier, et je me dis que ce pourrait être elle, dans cette robe et ces cordes.
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